Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Nos chercheurs affiliés sont basés dans plus de 120 universités et effectuent des évaluations aléatoires dans le monde entier pour concevoir, évaluer et améliorer les programmes et les politiques qui visent à réduire la pauvreté. Ils définissent leurs propres agendas de recherche, collectent des fonds pour mener leurs évaluations et travaillent avec les équipes de J-PAL sur la recherche, la diffusion des résultats et la formation.
Our research, policy, and training work is fundamentally better when it is informed by a broad range of perspectives.
In Egypt, researchers evaluated the impact of providing large loans on the revenues, profits, wage bills, productivity, and household expenditures of small businesses owners. These loans were up to four times larger than previous loans the firm owners had received.
Profits and household expenditures increased by a large amount, but only for top performers. Although large loans did not have an impact for the average borrower, firm owners who were predicted to be top performers increased their monthly profits by 55 percent.
On the other hand, profits halved for firm owners who were predicted to be low performers. In some cases, larger loans even led to the firm going out of business.
Overoptimism may have been a contributing factor to the poor performance of certain firm owners. Those who identified with statements consistent with high optimism were less likely to see positive impacts of larger loans.
Loan officers may not accurately assess potential clients, leading to poor lending choices. Loan officers perceived clients predicted to be top performers to be more likely to default than those predicted to be low performers.