Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Nos chercheurs affiliés sont basés dans plus de 120 universités et effectuent des évaluations aléatoires dans le monde entier pour concevoir, évaluer et améliorer les programmes et les politiques qui visent à réduire la pauvreté. Ils définissent leurs propres agendas de recherche, collectent des fonds pour mener leurs évaluations et travaillent avec les équipes de J-PAL sur la recherche, la diffusion des résultats et la formation.
Our research, policy, and training work is fundamentally better when it is informed by a broad range of perspectives.
J-PAL hosted the second regional matchmaking conference for its Urban Services Initiative (USI) at Cape Town, South Africa from January 10 – 12, 2013. The conference brought together researchers and practitioners active in urban service delivery (particularly water, sanitation, and hygiene or WSH) throughout Africa. The aim of the conference was to stimulate discussion on innovations that can help improve the access to WSH services for the urban poor, and what collaboration opportunities might exist between the researchers and practitioners.
Representatives attended from a variety of organizations: local city governments (South Africa), national water and sanitation bodies (Senegal and Ghana), nonprofits (Angola, Burkina Faso, Liberia, Ghana, Kenya, UK, US), private firms (South Africa, Kenya, UK, US), and several local researchers. Existing randomized impact evaluations were presented–such as J-PAL’s study on household water connections in Tangiers, Morocco–and breakout sessions were held in which researchers and practitioners who share similar regional and thematic interest discussed and mapped out opportunities for collaboration.