Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Le Laboratoire d'Action contre la Pauvreté, J-PAL, est un centre de recherche mondial qui œuvre à la réduction de la pauvreté en veillant à ce que les politiques sociales s'appuient sur des preuves scientifiques. S'appuyant sur un réseau de plus de 1,000 chercheurs affiliés dans des universités du monde entier, J-PAL mène des évaluations d'impact randomisées afin de répondre aux questions essentielles dans la lutte contre la pauvreté.
Nos chercheurs affiliés sont basés dans plus de 120 universités et effectuent des évaluations aléatoires dans le monde entier pour concevoir, évaluer et améliorer les programmes et les politiques qui visent à réduire la pauvreté. Ils définissent leurs propres agendas de recherche, collectent des fonds pour mener leurs évaluations et travaillent avec les équipes de J-PAL sur la recherche, la diffusion des résultats et la formation.
Our research, policy, and training work is fundamentally better when it is informed by a broad range of perspectives.
In India, creating designated women’s help desks in police stations increased the registration of crimes against women, particularly when staffed by female officers.
The WHD program led to more registrations of cases of violence against women. Stations with WHDs registered 1.5 civil cases per month on average compared to just 0.05 in stations without WHDs, and they registered 4.4 criminal cases per month on average compared to 3.8 in stations without WHDs.
These increases were driven by woman-run WHDs. While civil case recording increased in both male- and female-led WHDs, criminal case recording increased only in woman-run WHDs.
Female officers became more likely to state a desire to take women’s claims of violence seriously. Female officers were less likely to express the belief that women often file false claims against men after receiving the intervention, but men’s attitudes did not change.
Women’s perceptions of police treatment improved in some stations. Women’s self-reported levels of comfort, satisfaction, and respectful treatment increased in WHD stations with high training and implementation quality.